Conclusion
Comme nous l'avons vu tout au long de cette présentation, LVM offre de remarquables avantages par rapport à
une gestion classique de l'espace de stockage d'un système Linux. Citons l'absence totale de barrières physiques,
le redimensionnement simplifié des volumes, les fonctions de snapshots ou encore la prise en charge native de LVM sur les
noyaux Linux > 2.6.
LVM est malheureusement doté de quelques défauts dont il faudra se méfier lors de sa mise en place sur un système. Tout
d'abord, le redimensionnement des volumes doit se faire avec certaines précautions, sous peine de voir ses données écrasées.
Ensuite, il faut savoir que LVM n'est pas géré sur les environnements Windows, les données seront donc inaccessibles
avec de tels systèmes d'exploitation.
Pour finir, LVM nécessite un certain niveau en administration ; toutes les commandes de gestion des volumes doivent être
saisies à la main. Cependant, l'intégration de LVM aux processus d'installation de nombreuses distributions Linux a permis de démocratiser l'usage de la gestion logique des volumes.
La configuration est très souvent simplifiée grâce à la présence d'un assistant de partitionnement, rendant la phase de mise en place plus aisée.
Installation d'Ubuntu : l'utilisation de LVM pour partitionner les disques fait partie des choix proposés
URLographie
Les sites Internet et articles qui suivent nous ont servi d'appui pour nos recherches de veille technologique sur LVM et LVM2 :
LVM sous GNU/Linux, Supinfo-Projects
Mettre en place LVM sous Ubntu
Le site Lea-Linux : présentation technique de LVM
Utilisation de dm-crypt : Hard Drive Encryption in My Ubuntu Installation
Article de Wikipédia sur la Gestion par volumes logiques
LVM ou comment changer d'idée sur le stockage de données sous Linux
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